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1 jour – La fête

1988

fête de 1988 sur le thème du cirque. Alain Séverac était le clown barbier que Maurice Moulin avait baptisé le clown Sop’Alain.

IL ne se souvient pas du nom de tous les barbus qu’il rasait. Il sait qu’il y avait Philou. 

On reconnaitra bien sûr Maurice Moulin (dans une autre puiblication), Bébert Larnaudie en chinois jongleur, Frédéric Moulin et Laurent Séverac en clowns à vélo.

Gourbit 1950 – 1952

Le 22 janvier 1950 : traitement du garde champêtre : 2 400 F, tambour afficheur : 600 F, gardien de l’église : 300 F. M. Mouchart, curé de Rabat desservant de l’église de Gourbit, est nommé à l’emploi de gardien des objets culturels de l’église de Gourbit. Été caniculaire.

Le 18 février 1951 : hiver rigoureux et des températures très basses, les canalisations sont gelées. En 1951, la société des amis de Gourbit est créée, les statuts sont déposés à la préfecture ; elle est chargée d’organiser la fête du village, de mettre en valeur le tourisme, le folklore et les traditions. Elle créait un terrain de sport au lieu-dit Verger. En septembre, cette association met son terrain et le matériel à la disposition des enfants fréquentant l’école du village accompagnés par un responsable à compter d’octobre. Le 11 mars 1951,malgré les dispositions prises, les fortes gelées ont fait éclatertoutes les bornes fontaines en fonte et particulièrement les tuyaux en plomb. Encore de grosses dépenses en vue pour la commune.

Témoignages : « Jour et nuit pendant près de trois mois, un feu d’enfer a ronflé dans la cheminée dans laquelle bouillaient des bassines de neige fondue, remplissant la pièce de buée ».

« L’hiver a été rude cette année-là et si les conduites d’eau ont éclaté un peu partout, grâce à Dieu, la neige ne manquait pas ».

« Pendant cinq jours et cinq nuits, il neigea sans discontinuer et, à certains endroits, les jambes s’enfonçaient parfois jusqu’à mi-cuisses ».

En février 1952 : les inondations emportent le pont de Langoust, ce pont est la propriété des communes de Rabat et Gourbit. La commune de Gourbit dit qu’il est urgent de hâter sa reconstruction qui est d’une utilité incontestable pour les deux villages et l’exploitation des propriétés. Le 2 mars 1952 :Traitement : secrétaire de mairie : 24 000 F, gérante de la cabine téléphonique : 8 000 F, agent des eaux remonteur d’horloge : 5 000 F, balayeuse de classe : 2 000 F, garde champêtre : 12 000 F.

Le 19 octobre 1952 : M. le préfet demande au conseil municipal d’examiner la possibilité de voter une subvention pour aider la restauration du château de Versailles. Le conseil à l’unanimité considérant qu’il est du devoir de la commune de participer pour la modeste somme à la restauration de ce haut lieu où le génie français s’est manifesté dans toute sa grandeur vote une subvention de 500 F. En 1952,unarrêté interdisait de déposer dans la Goule des ordures. Les eaux des vidanges ménagères ne pourront y être versées qu’avant 6 h et après 21 h. Les riverains du lavoir à l’embouchure de l’Artax doivent élaguer les rives afin de faciliter l’écoulement des eaux.

Gourbit 1934 – 1936

Le 10 mars 1934 : installation du téléphone. Publication par tambour pour la gérance du bureau téléphonique. Le 1er avril 1934,installation du téléphone communal chez Cabibel pour 600 F + l’Assurance Sociale. Le 22 avril, après mésentente du conseil municipal le maire ajourne la question.

Le 8 mars 1935 : demande d’aide de Gourbit au préfet pour calamités publiques suite des dégâts causés par l’ouragan. Le 22 août 1935, M. Laguerre Hyacinthe et Rouzoul Irénée proposent de changer la date de la fête locale. Ils estiment que le deuxième dimanche d’août serait plus propice pour attirer un plus grand nombre d’étrangers et profiter des vacances des enfants de la localité qui ont émigré et retournent au pays de façon saisonnière. Le conseil se range à leur avis : la fête locale aura donc lieu chaque année le deuxième dimanche d’août.

MAI 1936 : Maire : Laguerre Paul. Adjoint : Blazy Joseph. Conseillers municipaux : Franc Henri – Rouzoul Joseph (Machicou) – Goueillé Jean- Baptiste – Galy Paul – Cabibel Florentin – Estèbe Henri (Pastou) – Galy Henri (Papy) – Laguerre Jean-Hyacinthe – Rouzoul Irénée – Laguerre François

En 1936, Gourbit compte 236 habitants.

Le 28 mai 1936 : demande de Goueillé Jean-Baptiste de remettre la fête du village à la Trinité : « rejet ».

En août 1936 : manifestation du front populaire et fête de la paix, défilé à Gourbit, musique en tête assistée de la Municipalité. Recettes : 2 123 F, dépenses : 1 776 F.Le 16 octobre 1936, constitution du comité local en vue de la construction d’un refuge sur les bords de l’étang d’Artax (l’ancien au fond de l’étang maintenant démoli). Le devis des travaux avec la liste des membres du bureau a été envoyé à M. le préfet pour subvention. Une somme de 2 062 F a été recueillie par les membres et 100 F de la commune. Il sera construit par M. Laguerre Hyacinthe.