1 jour – le bureau de bienfaisance

En 1928 : le bureau de bienfaisance loue un pré à Fraïbos pour une période de 3.6.9 ans pour 40 F l’an.

Le 19 décembre 1954 : fusion du bureau de bienfaisance et du bureau d’assistance sous le vocale de : « Bureau d’aide Sociale ».

Exemple à Gourbit : En 1930 : aides aux femmes en couches.L’attribution d’un secours et médecine gratuite était accordée aux femmes en couches sans ressources. Taux de l’allocation journalière aux personnes bénéficiant de l’assistance femmes en couches : 2,50 F par jour. Prime d’allaitement :120 F par mois les 6 premiers mois et 60 F les deux mois suivants.

En 1925 : suite à une circulaire n° 15 applicable aux bénéficiaires des secours aux familles nombreuses, le bureau maintien le taux actuel.

L’assistance aux adultes est de deux sortes :

a) assistance médicale avec hospitalisation.

De nombreux indigents de Gourbit demandaient à aller sur prescription du médecin des pauvres prendre les eaux à Ax-les-Thermes. Le bureau de bienfaisance prenait à sa charge la moitié des frais de cure et de l’hospitalisation.

b) assistance médicale gratuite à domicile : considérant que pour assurer le service de la médecine des indigents secourus par le bureau de bienfaisance, il y a lieu de nommer un médecin. Le 31 mai 1866, le conseil municipal vote une subvention pour le service de la médecine gratuite dans le village. En 1872, participation de la commune pour le service médical gratuit : 43 F (6 centimes par habitants). En 1880, M. Cabibel résidantà Tarascon est nommé médecin des pauvres au traitement de 100 F annuel. Puis M. Pons, de Saurat, M. Lafont, de Saurat…Quel courage il fallait l’hiver à ces hommes pour monter à Gourbit depuis Saurat à pied.

L’assistance médicale gratuite aux vieillards et infirmes.

En 1908 : 12 personnes du village recevaient l’assistance aux vieillards, infirmes et incurables.

Le 3 juillet 1911, vu que la pauvreté et le manque de ressources attirent vers les villes la partie la plus virile de la population. De cette manière le produit de leur journée est à peine suffisant pour subvenir aux besoins de leur famille, que les vieux parents restés dans le village ne peuvent plus compter sur eux. Qu’ainsi le nombre des indigents et privés de ressources augmentent sans cesse. Qu’il y a lieu de les aider, le taux mensuel à 5 F se décompose de la façon suivante : nourriture 3,5 – logement 0,75 – chauffage 0,50 – habillement 0,05.

En 1926, les vieillards sans ressources convenables, incapables de travail sont les plus frappés par la vie chère et que le fait de posséder un toit n’est pas signe de richesse. Que les conditions de la vie économique par leur instabilité ne sauraient imposer d’une manière efficace une aide consentie par les enfants souvent gênés. Que la modicité des secours en considération d’autres dépenses générales est de nature à inviter le conseil à maintenir sa décision pour soulager les humbles et compenser les frais provenant de l’augmentation des vivres.

En 1930, taux mensuels pour vieillards et les infirmes : 30 F par la commune et 20 F par l’état.

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